A l'aube d'une vie nouvelle...

Farah émergea avec difficulté du sommeil. Elle trouvait une drôle de sensation à ses draps de soie et où avait donc disparu son oreiller? Le temps qu'elle ouvre les yeux et tout lui revint : le naufrage, la plage, la jungle... tout. Elle se mit en position assise. Non, ce n'était pas un mauvais rêve. Elle vivait un véritable cauchemar.

Elle resserra rapidement les deux pans de sa veste kimono sur elle, voyant qu'un de ses seins en émergeait, pour le plus grand plaisir d'un homme au loin, qui détourna la tête avec un temps de retard. Tout s'était passé si vite! Elle était en train de donner la fessée à son pervers de client lorsque le choc avait eu lieu. Les sirènes avaient retenti... Tout le monde courrait en s'affolant. Elle ne voulait pas mourir. Elle avait juste pris le temps d'enfiler une culotte de dentelle et sa veste avant d'essayer de se sauver à son tour. Il faudrait qu'elle trouve des vêtements rapidement.

Elle se sentait vraiment las. La nuit il avait fait frisquet et elle avait senti le froid malgré le petit nid qu'elle s'était creusée dans le sable. Son ventre la tiraillait et la soif avait craquelé ses lèvres. Allait-elle mourir ici? La sale petite pute qu'elle était allait-elle clamsé dans son coin? ça la fit sourire en pensant à la tête que devait faire la maquerelle en apprenant qu'elle avait perdu une des favorites du bordel. Maigre vengeance contre cette grosse truie, mais vengeance tout de même. Une idée lui frappa alors l'esprit. Qui dans les naufragés qui évoluent sur le sable savait qu'elle était une prostituée? Personne... Elle se rendit compte que c'était le moment où jamais pour elle de changer de vie. Jasmine pourrait enfin devenir Farah Alba, femme respectable. Finalement ce n'était peut-être plus autant un cauchemar que ça? Tout à coup, la journée prenait une toute nouvelle chaleur vu sous cette angle bienheureux.

Elle se leva et s'enfonça légèrement dans la forêt. Elle alla soulager sa vessie à l'abri des regard et se dirigea ensuite vers le petit ruisseau qui,venant de la forêt, traversait la plage pour se jeter dans la mer. De façon très égoïste, elle avait refusé de boire la veille, préférant voir si ceux qui s'y risquaient allaient tomber malade. Personne n'avait souffert de diarrhées, elle supposa donc que l'eau était potable. De toute manière, elle ne tiendrait pas un jour de plus sans eau. Elle chercha un endroit où l'eau coulait dans un petit courant, un homme apparemment habitué à la survie leur ayant dit d'éviter l'eau croupissante pour les bactéries. Elle se lava les mains et commença à boire de tout son saoul.

Lorsqu'elle n'en puis plus, et que l'eau cogna contre les parois de son estomac elle se redressa. Mais quelque chose lui firent dresser les cheveux sur la nuque. Elle était seule dans cette jungle d'où venaient d'étranges bruits. Seule, dans un silence totale. Elle n'entendait ni le bruit des animaux, ni le vent dans les feuilles. Elle se mit à angoisser complètement, faisant quelques pas en marche arrière, tous ses sens en alerte.... Elle voulu crier mais aucun son ne franchit le seuil de ses lèvres. Elle s'était rendu compte que cela pouvait mener un prédateur potentiel vers elle. Mon dieu, je vais mourir... pensa-t-elle avant de se mettre à courir comme une perdue à travers la jungle, ne se préoccupant pas des branches qui fouettaient son visage ou griffaient ses jambes nues.

Un homme fesait son chemin dans la foret. Il avait quitter la petite bande qui se dirigeait plus loin dans la foret. Il venait de remarquer qu'il devenait de plus en plus perdu et que certain gens le trouvait suspect. Il les avait perdus par exprès dans un recoin assez subtilement. Personne d'ailleur ne chercha a le trouver. Il se laissa guider par ses instinct. Il commencait a y etre habituer. Il se remémorait les evenements de la veille. Le bateau, le capitaine, les sirènes , il avait crut qu'il était fait comme un rat et qu'il allait se faire capturer. Mais voyant que le bateau s'échouait et que tout le monde se dirigea vers les bateaux de secours lui s'était lancer a l'eau. Il avait nager jusqu'au rivage et s'était perdu dans la foule. Pendant sa nuit sa n'avait pas été compliquer il s'était coucher dans un arbre. Par chance dans son pac sac il trainait pas mal de chose pour survivre dont de l'eau. Mais maintenant sa bouteille était vide et il n'avait plus que du linge et des armes dans son sac. Il avait décider de planter ses armres dans l,arbre bien cacher pour que si quelqu'un devait les retrouver sa soit lui et maintenant son sac était moins lourd. Il ne lui restait que du linge et trois dague. Mais pendant qu'il repensait a cela il entendit des oas arrivant vers lui. Il se tourna présitamment et BANG il recu le corps d'une jolie femme en plein sur lui et il tomba a la renverse.

La jeune femme hurla. Elle était persuadée qu'elle venait de se faire capturer par le monstre qui hantait la jungle. Pourquoi était-elle partie seule de la plage? Elle ne voulait pas mourir au début de cette nouvelle vie respectable!

- Pitié! Non!

Mais voyant que rien ne se passait et qu'elle ne sentait aucune douleur autre que celle du au choc, elle ouvrit les yeux. Elle le reconnu. Elle l'avait croisé sur le pont du navire. Elle l'avait trouvé vraiment séduisant à ce moment là. Quand les clients la besognaient soigneusement, elle avait plusieurs techniques pour s'évader. Elle pensait à autre chose, qu'elle était ailleurs. Ou alors elle s'imaginait des choses excitantes. Et si son client était vraiment laid, elle s'imaginait que c'était un bel homme qui lui faisait l'amour. Et quand le chef d'entreprise l'avait essayé avant de la refiler à son client, c'était à lui qu'elle s'était imaginée. Cela la fit rougir légèrement. Elle se redressa légèrement et s'assit à genoux sur le sol sablonneux.

- Pardon, monsieur... Je... J'ai pris peur et... Je suis désolée.

Elle s'inclina à la manière japonaise pour implorer le pardon.

Raksis s'était fait rentrer dedans litéralement par une très belle femme. Il ne la reconnaissait pas vraiment puisqu'il avait été occuper pendant qu'il passait près d'elle. Alors il se releva et enleva la poussière sur son vetement distraitement.

-Sa va sa va.

Il voulait simplement qu'elle ne recrit pas comme tout a l'heure ou elle avait faillit lui peter les timbants avec sa crise d'hystérit. Il regarda autour de lui et il venait de perdre ses directions. Il venait pas mal de perdre ses chances de retrouver ses armes s'il ne retournait pas a la plage. Il regarda la femme très séduisante pendant un instant. Il aurait pu la faire sienne dans une autre vie mais pas en se moment s'était risquer cette foret. Il se mit a continuer a marcher dans une direction prit au hasard laissant la la femme.

Raksis put bientôt sentir une présence derrière lui. La jeune femme s'était relevée et le suivait comme un bon petit toutou. Les hommes la mettaient vraiment mal à l'aise. Ils l'effrayaient même. Mais pour la situation actuelle, elle préférait un bras fort et courageux pour la protéger. Elle avançait doucement, maintenant fermement fermé les deux pans de son kimono pour que rien n'en sorte. Il fallait vraiment qu'elle trouve des vêtements. Quelques griffures sur son visage et ses jambes étaient apparues et ça lui piquait. Mais elle restait silencieuse, la tête basse et le regard rivé au sol.

Raksis se sentait suivis. Si elle voulait le suivre qu'au moins elle fasse moins de bruit! Il fesait des efforts pour ne pas trop casser de branche ou attirer des betes sauvage. Il n'était pas lache mais sur ses gardes. Il se dirigeait habillement cherchant quelque par de direct ou se cacher. La chance était avec lui quand une demi-heure de marche plus tard il arriva près d'une petite cabane. Il se serait ruer a l'intérieur mais la prudence le dictait. Il se dirigea lentement jusqu'a une fenetre et observa un moment a l'intérieur. Il n'y avait personne. Il ouvrit donc la porte avant d'entrer. Il redressa sa jambe et sortit un canif avant de le lancer. Un serpent fut clouer au sol grace a cela. Il prit son temps pour regarder partout et ne trouva rien. Il déposa finalement son sac sur la table et il décrocha son canif après cettre assurer de la mort du serpent, pas venimeux par chance.

Il l'ignorait superbement. Mais ce n'était pas grave, c'était peut-être mieux. Au moins, elle n'avait pas à s'en faire. Elle pensait qu'il retournait vers la plage mais non, il arriva à un cabanon abandonné. Les vitres étaient brisées, le sol couvert de poussière et la jungle l'avait en partie envahis. Il pourrait au mieux les protéger d'une pluie éventuelle. Mais il faisait fort beau!

Soudain il se fit étrange. Il sortit quelque chose de sa botte et le lança sur... Elle se mit à hurler à nouveau. Un serpent! Et en plus de ça, il s'approcha et le toucha. Mais quelle horreur! Et s'il y en avait d'autres? Elle regarda partout autour d'elle, affolée. Elle entendit un bruit. Elle poussa un nouveau petit cri et se retrouva, elle ne sut comment fortement accroché au bras du jeune homme. De ce fait, son Kimono s'était légèrement entrouvert laissant à l'inconnu une vue plongeante sur son décolleté et même plus.

Mais la jeune femme tremblait, elle n'en avait cure! Elle avait tellement peur! Cet endroit c'était l'horreur!

Les yeux de Raksis resterent figer malgrès lui dans son décolter et il se dépecha de trouner le regard. Il se tourna vers l'endroit ou il y avait eut du bruit mais rien. Il soupira avant de se détacher d'elle et de se diriger vers les amoires. Il trouva une cruche d'eau. Il chercha dans son sac pour une petite pilule. Il la déposa dans le trou du cruchon et l'eau devint blanche avant de reprendre une couleur normal. ALors il se mit a boire. Il pensa après un moment, quand le quart fut but, dans proposer a la jolie demoiselle. L'eau était chaude mais maintenant potable. Il chercha dans la cabane et trouva une sorte de sofa et un lit mistérieusement recouvert de plexi glace. Il les enlevas et son choix était fait. Il passerait la nuit la. Il devait bien se reposer aussi.

La jeune femme reposa la cruche... sur ce qui ressemblait peut-être dans le temps à une table.

- Je vous remercie, mais j'ai bu dans le ruisseau tout à l'heure.

L'homme ne disait rien. Il lui faisait vraiment froid dans le dos. En plus, elle venait seulement de réalisé qu'il avait un couteau dans sa botte. Si ça tombe, il était même plus dangereux que la jungle et elle, elle l'avait suivi comme une idiote. Elle se recula un peu. Et si c'était un fou psychopathe? Elle ne le connaissait même pas! Et puis, elle n'avait pas aimé la façon dont il avait testé le lit... Il voulait la violer? Est-ce que ça paraitrait étrange si elle se sauvait en courant? Elle recula doucement mais surement vers la sortie. Pourvu qu'elle ne se perde pas!

- je... je crois que je vais vous laisser maintenant... J'ai cru que vous rentriez à la plage. Je n'aurais pas du vous suivre. Pardonnez moi.

Raksis soupira en s'assisant sur le sofa prenant du repos. Il dit haut et fort:

-Fait comme tu veux je m'en fiche. Dans le sac il y a du linge a moins que tu veuilles continuer a avoir l'air d'une pute.

Il ferma les yeux et sa respiration se ralentit. Il se reposerait avant d'aller chasser pour de la nourriture. A quoi lui servirait de retourner a la plage de toute facon. Il savait qu'il avait échouer sa mission et que son chef ne le chercherait meme pas. Il s'imaginait bien se qu'elle devait penser de lui mais il s'en fichait pour le moment.

La jeune femme fut profondément blessée par sa remarque. Parce que c'était vrai et qu'elle ne pourrait jamais commencer sa nouvelle vie de cette manière. Elle se regarda. Combien de temps encore avant qu'on vienne lui demander combien elle voulait pour le service? Pourquoi se sentait-elle si triste tout à coup?

- Je...

Elle ne savait pas quoi dire. Comment expliquer sa tenue? Une autre qu'elle l'aurait surement giflée mais pas Farah. Parce qu'il avait deviné juste.

- J'étais en train de me faire masser lors de l'accident. J'ai attrapé ce que j'ai pu pour me couvrir.

Sa voix était réellement peinée. Elle ne pleura pas mais elle venait de voir beaucoup de ses espoirs tomber à l'eau. Elle s'approcha du sac de l'homme et attrapa un espèce de Tee-shirt. Peut-être aurait-il aimé qu'elle se change devant lui, mais une femme respectable ne faisait pas ça.

- Merci pour le vêtement. Je vous le rendrais quand j'aurai trouvé autre chose.

Elle sortit sans un bruit, la tête basse. Quel ignoble individu! Comment avait-elle pu fantasmer ainsi sur lui? Il ne valait pas mieux que les autres! Elle ôta son Kimono, qui tomba sur le sol et enfila la tee-shirt. Plus de décolleté indécent. Bon, elle n'avait pas de pantalon, mais sa culotte sauvait les apparences. Elle ramassa sa veste rouge et s'en alla, espérant retrouver son chemin.

Quelques minutes plus tard, un cri angoissé se fit à nouveau entendre...

Faite comme vous voulez, furent les derniers mots que dit Raksis a la femme. Il voulait dormir et se fichait de ses sentiments un peu injustement. Surment qu'il l'avait blesser mais il ne s,en rendait meme pas compte. Il avait fermer les yeux et s'était allonger après lui avoir parler des vetement et il se disait qu'elle devait le prendre pour un pervers. Un long soupire sortit de sa bouche quand il du se relever et sortir de la maison en sautant pas la fenetre dans la direction du cris angoisser car si elle continuait a crier elle guiderait tout le monde par la ainsi que des betes sauvage. Il ne tenait pas a partager son abris. Il courut dans la direction qu'il avait entendu parvenir le crit en se demandant qu'est-ce que sa pouvait bien etre. Il venait de sortir sa dague de sa botte et il s'arreta en position de défence.

-Mais qu,est-ce qu'il y a bon sang!

Il vit un homme plus loin qui regardait Farah avec envie. Il s'approchait dangereusement d'elle et tentait de l'attraper. Raksis soupira et s'avanca.

-Lache la si tu sais se qui est bon pour toi.

Il le menacait de sa dague regardant lassement l'homme pervers.

Farah observait elle aussi cet homme qui l'avait si violemment jeté à terre. ça l'avait surprise! Elle avait même cru que c'était l'autre qui était revenu sur sa décision... Mais non! Et heureusement, il lui venait en aide. Elle avait mal à la joue car il l'avait giflé pour la faire taire. En plus, en se sauvant, elle s'était tordu la cheville. Le nouveau venu savait-il ce qu'elle était en réalité? Si c'était le cas elle voulait qu'il meurt! Ou qu'il ne soit pas en mesure de parler.... Elle observa un peu horrifiée les deux hommes qui s'affrontaient du regard.

se fut rapidement fini. Raksis sauta sur l'homme mais celui-ci se sauva avant d'etre attein et voyant la lame près de lui il détala comme un lapin. Quand Raksis fut sur qu'il ne reviendrait pas il se dirigea vers la femme.

-TOujours aussi sur de rester toute seule? Aller vien je te ramenerais demain a la plage.

Il ne demanda meme pas son avis voyant que sa jambe semblait lui faire mal. Il la prit dans ses bras et se dirigea vers la cabane. Dans sa tete il soupirait se disant que son repos devrait attendre.

Farah était reconnaissante à l'inconnu de l'avoir aidé mais ce qu'il venait de lui dire l'inquiétait un peu...

- Demain?

Elle n'avait aucune envie de passer la nuit avec ce fou! Et s'il essayait de la toucher lui aussi? En plus, il lui faisait froid dans le dos.

- Vous ne pourriez pas me ramener maintenant? Je marcherai! S'il vous plait!

Sa voix était implorante. On sentait qu'elle était vraiment mal à l'aise et qu'elle n'avait pas envie du tout de rester avec lui.

Il soupira d'éxaspération. Croyait-elle vraiment etre capable de marcher dans cette étas? Et de toute facon il ferait noir avant qu'elle se rende a la plage.

-Quoi? Ma compagnie te répugne? Ne me compare pas a cet idiot.

Il entra dans la cabane et se dirigea vers le lit ou il la déposa avant de ressortir de la *chambre* et ensuite de la *maison*. Il se dirigea plus loin et tua sans trop de misère deux lievres. Il rentra dans la maison et chercha a travers son sac. Il y trouva deux pierres noir et sortit dehors pour commencer un feu. Il rentra ensuite.

-Se sera bientot près. Si tu veux pouvoir marcher jusqu'a la plage il va te falloir de l'énergie et une jambe en bonne étas.

L'homme lui faisait peur. Elle se sentait trop mal à l'aise. Elle avait l'impression qu'on persistait à l'emprisonner dans son ancienne vie de malheur. Elle était assise sur le lit, et elle s'était recroquevillée de manière à glisser ses jambes pliées sous le tee-shirt. Elle risquait de le déformer mais bon... Elle l'observait du coin de l'œil. Elle avait l'impression d'être prisonnière. Sa joue était un peu bleue à cause du coup et sa cheville avait doublé de volume. Elle ne répondit rien. Sa commençait à sentir drôlement bon pour son estomac vide. Mais... non, elle avait trop peur de lui. Il maniait trop bien le couteau... comme son premier mac.

Raksis soupira avant de sortir de la cabane. Il se dirigea vers son petit feu et retira la brochette qui cuisait. Avec habileter il avait retirer les bons morceau et les avait appreter.Il rentra dans la cabane et sortit deux assiete. Quel merveille que de trouver autant de chose... Il y déposa les morceau cuit a point et s'en alla dans le coin de la cabane connu sous le nom de: la chambre. Il déposa une assiète sur le lit et sortit ensuite de la maison ayant laisser un couteau dans l'assiete pour qu,elle puisse manger. Il regarda autour de lui en étouffant le feu et prenant une boucher de viande. Il devait s'assurer que personne ne trouvait son campement sinon il risquerait de se faire déloger... et il ne tenait pas au bain de sang. Surtout devant la demoiselle qui avait déja assez peur comme sa. Il rentra encore dans la maison finissant du meme coup son morceau de viande.

Farah avait regardé le plat avec méfiance sans y toucher. Mais lorsqu'il fut parti, elle se jeta dessus comme la pauvreté sur le monde. Elle avait tellement faim! Ayant fini de manger, elle préféra glisser le couteau sous le matelas, juste au cas où.... Elle posa l'assiette sur le sol. Elle aurait bien voulu bouger mais sa cheville lui faisait horriblement mal et chaque mouvement lui coutait. Tout son être se tendit lorsqu'elle vit l'homme rentrer de nouveau. Elle attendit de voir la suite.

Raksis se sentait très lasse et n'avait pas envie de se compliquer la vie. Il se dirigea vers le sofa qui était en direction du lit et il s'y allonga. Il se coucha dos a elle et ferma les yeux. Toute sa journée s'était passer si vite qu'il devait se faire a l'idée. Il était perdu sur cette ile avec une folle... Il avait bien une cabane mais elle ne tiendrait surment pas longtemps si d'autre personne arrivait. Il devait trouver un endroit plus sur dans la foret mais la plage elle ne semblait pas une bonne idée. Loin de la. Il ne s,était pas endormit mais il en avait l'air. Son tatooage ressortait a travers tout ses cheveux plaquer contre son visage.

Farah ne cessait de l'observer. Il avait beau être bel homme, il n'en restait pas moins dangereux. Il avait fini par s'endormir... Elle attrapa doucement le couteau caché sans un bruit. Elle pourrait peut-être le tuer et s'enfuir dans la jungle? Mais pour aller ou? Elle ne savait pas où était la plage. Mais fallait-il vraiment le tuer? Il l'avait aidé tout à l'heure. Bien sur il faisait peur mais... Il ne lui avait pas vraiment fait de mal. Il lui avait même prêté un vêtement. Elle remit le couteau en place.

- Merci... dit-elle dans le silence de la cabane.

Il dormait, mais au moins elle avait fait son devoir de politesse.

Raksis avait entendut un petit bruit du craquement du lit et s'était attendut a quelque chose de sa par mais finalement se ne fut qu'un remerciment. Il s'en ficha un peu et tenta de trouver le sommeil. Il était près de trois heure de l'après midi quand il s'endormit pour ne se réveiller qu'a 6 heure. Il s'étira lassement et se demanda se qu'il allait faire maintenant. Surment que la pluspart des autres hommes se serait ruer sur elle pour la violer comme l'autre plus tot mais Raksis avait plus de classe et de maturiter pour cela. Il se redressa et recommenca a penser a un moyen de se sortir de cette ile. Il devait surment y avoir un moyen de contacter son chef... Il DEVAIT en avoir un. Il bailla un peu avant de tourner son regard vers le lit.

Farah avait fini par s'endormir elle aussi. Sans le vouloir, elle était dans une position très sensuelle. Son tee-shirt légèrement soulevé laissait voir son ventre et ses jambes légèrement écartées mettaient en valeur son postérieur agrémenté de la culotte de dentelle rouge. Elle était dans un abandon total, le visage serein. Elle avait roulé en boule sa veste pour s'en servir comme oreiller. Ses lèvres étaient entrouvertes et laissaient passer sa respiration régulière. La seule ombre au tableau était sa cheville enflée.

Raksis regarda cela et après un court moment , très court meme, il regarda ailleur et se leva pour aller voir plus loin. Il ouvrit son sac et chercha a nouvea. Pourquoi n'avait-il pas penser a des choses utiles... comme un telephone une caméra ou quelque chose du genr. Il attendit qu'elle se réveille avant de dire.

-Pardonne moi de t'avoir traiter de pute tout a l'heure je ne pensais aps que tu le prendrais t'en a coeur.

Il essuyait sa lame avec laquel il avait tuer les deux lapin.

Le regard de la jeune femme suivait le lent va et vient de la main de Raksis sur son couteau maculé de sang. Son arme à elle était sous le matelas... pas moyen de la prendre sans qu'il ne la voit. Elle devint livide.

- Ce... ce n'est rien. C'est oublié.

Elle eut un petit rire nerveux. Qui avait-il tué avec ce couteau? Et que comptait-il faire d'elle à présent?

- Tu... tu vas me ramener à la plage maintenant? demanda-t-elle avec espoir.

Elle aurait donné cher pour être ailleurs. Même avec un client pervers et répugnant.