A l'aube d'une vie nouvelle...

Il rangea sa lame dans son foureau et dit:

-Les lapins de tentot comment crois-tu qu'ils sont mort?

Il s'approcha un peu mais pas trop. Elle semblait déja assez troubler comme ca...

Fait comme tu veux mais moi je ne sors pas d'ici pendant la nuit. Si tu as si peur de moi alors tu n,as surment plus de place pour avoir peur des grosses bebete et de l'homme de tentot.

Il rit un peu sous sa remarque sarcastique.

-J'aimerais bien ravoir mon arme a moins que tu pense vraiment pouvoir te défendre avec.

C'était comme s'il lisait ses pensée. Un frisson glacé lui parcouru l'échine. Pourvu qu'il ne découvre pas la vérité à son sujet! Elle jeta également un œil inquiet à la jungle. Non, décidément, elle ne voulait pas y aller seule de nuit. Elle se demanda un instant si elle n'allait pas essayer de le charmer pour obtenir des choses de lui. Mais non, ça c'était une technique de prostituée, elle ne ferait ça qu'en dernier recours. Elle lui jeta un regard plein d'espoir :

- Mais tu ne vas pas nous faire dormir ici cette nuit, non? Et si la chose qui fait tant de bruit nous trouvait? On sera plus en sécurité sur la plage avec les autres non?

Raksis la regarda avec un air comique. Elle pensait que sortir et se rendre a la plage serait mieux.

-Et ne pense tu pas qu'il y a plus de gens comme le pervers de tentot la bas? Si tu crois que je m'intéresse a ton corps ne t'inquiete pas j'ai mieux a penser qu'au sex.

Il se doutait que la soirée et la nuit serait longue... surtout si sa continuait ainsi.

-Écoute je me fous de se que tu pense et si tu veux je peux partir ses comme tu veux. Tu t'arrangeras avec tes problemes.

Farah s'imagina seule dans cette cabane perdue dans la jungle l'espace d'un instant. Le résultat ne se fit pas attendre :

- Non! lança-t-elle un peu fort.

Elle s'était même jeté en avant pour lui attraper les mains, l'empêcher de partir. Sur l'instant elle avait même envie qu'il vienne tout tout près d'elle pour se blottir dans ses bras protecteur. Mais la douleur que cela provoqua à sa cheville la fit vite revenir à la réalité. Elle se rassit et frotta sa jambe douloureuse. Ce n'était pas beau à voir! Ce ne devait pas être cassé mais foulé pour de bon. Elle lui jeta un petit regard contrit.

Et le pire dans tout ça était peut-être qu'un petit bout d'elle-même était vexé de ne pas lui faire d'effet.

Raksis se mit a rire un peu du résultat. Bien sur qu'il s'y était attendut.

-Je ne suis pas du genre a laisser une jeune femme toute seule ainsi. Demain je vous ramenerait a la plage et je m'assurerais de vous trouvez de la bonne compagnie avant de repartir de mon coté.

Il s'assit sur le sofa et soupira.

-Alors. Dite moi la vériter maintenant. QUi etes-vous vraiment? Une votre réaciton tout a leur était trop pousser pour etre vrai.

Il la vouvoyait à nouveau à présent? Elle préféra quand à elle garder le tutoiement. Mais lorsqu'il poussa sa dernière question, elle en fut horrifiée. S'il apprenait la vérité... S'en était fini d'elle! Son instinct prit le dessus et elle mentit de façon impeccable, de la même manière qu'elle feignait avoir du plaisir parfois sous les coups de butoirs des clients. Raksis ne put discerner aucun mensonge.

- Je suis secrétaire. J'étais en train de coucher avec mon patron pour avoir une promotion quand on a eu l'accident. Je me trouve abjecte d'avoir fait ça, mais j'avais vraiment besoin d'argent. Quand tu m'as traité de pute, ça me l'a renvoyé en pleine face: c'était exactement ce que j'avais l'impression d'être. J'ai honte de ce que j'ai fait.

Elle baissa la tête et observa ses pieds. Oui, elle avait particulièrement honte de ce qu'elle était et de ce qu'elle avait fait. Mais à 16 ans, on est influençable, elle n'avait vraiment pas vu le piège se retourner sur elle. Et elle avait passé 6 ans de sa vie dans un bordel de luxe dirigé par la mafia japonaise.

Elle releva la tête soudainement et observa Raksis.

- Je te fais confiance! Ne vas pas le répéter à tout le monde! De toute façon je nierai tout et garderai la version du massage!

Elle soupira à nouveau, de façon peu discrète. Elle se sentait un peu plus à l'aise en sa présence. Il n'avait pas l'air si méchant que ça après tout. Et puis elle n'avait pas vraiment envie de dormir après la sieste de l'après midi.

- Je voudrais aussi m'excuser de la façon dont je t'ai traité tout à l'heure. T'as pourtant été gentil avec moi. Tu m'as prêté un vêtement, proposé de l'eau, sauvée d'un pervers et même donné à manger et laissé ton lit. C'était sympa de ta part. Mais avec tes manières bourrues, je dois avouer que tu m'as flanqué les chocottes. J'ai cru que t'étais un psychopathe. D'ailleurs comment ça se fait que t'as tant de couteau sur toi? Puis tu les manies bien aussi... Et je parle même pas de tes tatouages. Chez nous, un tatouage c'est synonyme de Yakusa...

Qui ne connaissait pas ces terribles assassins japonais habillés en noir et servant la mafia dont le corps était couvert de tatouages? Farah avait eu l'occasion d'en voir pas mal nus. Y'en avais même dont le membre était tatoué.... ça avait du faire mal! Elle envoya un regard pénétrant sur Raksis, l'air un peu inquiet :

- T'es pas Yakusa, rassure moi?

Raksis prit une place sur le sofa et mit une jambe par dessus l'autre bien a l'aise. Si elle disait vrai alors son patron devait surment la chercher... ou il s'en fichait. Mais pour se qui était du reste de ses paroles il s'en fichait. Qu'est-ce que sa rapportait sur une ile comme celle-ci de dénoncer des gens? Mais ensuite elle commenca a s'excuser et parler de lui comme un etre malsain. Il n'était pas très social mais a la limite quand meme et la courtoisie ne tenait guère place dans un tel endroit. Et ensuite vint l'histoire des Yakusa. Le probleme s'était que tout se qu'il connaissait de cela s'était qu'ils étaient une bande d'assassin.

-Si tu veux tout savoir je me fais passer pour un matelos mais la première raison pourquoi j'était sur le bateau s'était pour faire un assassina. J'obéis au ordre de mon chef mais je n'ai plus d'ordre a recevoir et je pense bien qu'il ne tentera meme pas de venir me chercher. J'ai échouer la mission et il le sait. Meme que sa ne m'étonerais pas s'il décidait de bloquer tout les moyens de transport qui pourrait décider de passer par ici. Échouer une mission est synonime de mort assurer... Je n'ai pas réussit a tuer le capitaine, le bateau a commencer a trembler alors que j'était sur le dock et j'ai simplement sauté a la mer.

Il soupira se disant que peut-etre que tout sa avait aussi été toute une manigance de son chef pour se débarasser de lui puisque Raksis était tout de meme du genre a se révolter et a causer du trouble.

La jeune femme devint blanche comme un linge à la réponse de Raksis. Alors elle avait raison... il était un fou psychopathe... Un assassin... Et il disait ça sans broncher, comme s'il parlait de pluie et de beau temps. L'effet ne manqua pas, elle reprit peur.

- Un... un assassin...? T'as... t'as déjà tué des... gens?

Elle se mit à trembler légèrement.

Raksis se mit a rire a plein poumon.

-Oui j'ai déja tuer. Et si tu m'enerve trop je risque de recommencer.

Il rit de plus belle. QUand il commenca a avoir mal au ventre il arreta et repris un air sérieux.

-Pour moi un violeur d'enfant ou un tueur pour le plaisir se n'est plus des personnes. Se sont des laches qui mérite la mort. QUand je trouve ma victime je lui offre une arme et un combat a la regulière. Très peu accepte... De se qu'on ma informer le capitaine était un violeur, il a violer plusieur fois des jeunes enfants qu'il avait comme passager et soudainement les parents n'arrivait plus a retrouver leur enfant ensuite et il paraitrait qu'ils ont retrouver le corps de leur fille noyer. L'équipage disant qu'il aurait décider de sauter par dessus bord surment.

La jeune femme déglutit . Bon elle était perdue dans la jungle avec un assassin. Un assassin qui se voulait défendre des nobles causes, mais un assassin tout de même. Bon ce n'était pas la première fois qu'elle en avait face à elle mais bon... là qui viendrait à son aide? C'est peut-être l'habitude qui ne la fit pas paniquer.

- Si tu veux un conseil, arrête de crier sur tous les toits que t'es un assassin, ça peut faire grincer les dents de certains. J'comprends même pas pourquoi tu l'as dis à moi.

Il se mit a rire a nouveau.

-Si tu veux tout savoir ses parce-que je m,en moque. Qui viendrait m'attaquer et de toute facon vaut mieux crever que de rester prit sur cette ile de m*rde parce-que je sais qu'aucun secour ne viendra et tu te fait des idées si tu le crois.

Surment qu'elle avait raison mais qu'est-ce que sa pouvait bien changer et s'était quand meme un signe de confiance de dire la vériter.

-Moi je t'ai dit la vériter a mon sujet. Ses peut-etre juste mon imagination mais pourquoi une secretaire connaitrait si bien les Yakusa?

Mince, il avait trouvé une incohérence dans son discours... bon elle allait se rattraper. Lui disait peut-être la vérité, mais elle, elle n'avait pas confiance du tout. Tout comme elle l'avait si bien fait tout à l'heure, elle mentit :

- Qui ne connait pas les Yakuzas ? Je sais bien que je n'en ai pas l'air, mais j'suis japonaise. Et...

Elle fit semblant de lui sortir quelque chose qui lui pesait gros sur le coeur:

- La secrétaire que je suis, leur doit de l'argent. C'est pour ça que j'ai couché avec le boss. C'est pour ça aussi que j'ai pas envie de quitter cette ile. Dès que je remettrais un pied chez moi... ils vont me courir après. J'suis fichue. Je préfère encore mourir libre sur une île perdue au milieu de l'océan que torturée pour montrer l'exemple.

Elle avait l'air tellement désabusé. Mais là, elle ne mentait plus. Si elle revenait chez elle, ça serait reparti pour un tour. Et si des secours venaient... ça serait chez elle qu'elle serait reconduite.

Raksis ne broncha pas. Peut-etre que sa vie allait mal mais se n'était pas la sienne.

-Et tu fait plus confiance a des gens comme l'autre la bas qu'a moi? Plaisant, dit-il sarcastiquement. Je te ramenerais demain a la plage et tu feras se que tu veux.

Il prit son temps pour soupirer et ensuite il se tourna vers son sac. Pour une fois il était content d'avoir arreter de fumer... aussi non il commencerait a trouver le temps long.

Farah leva les yeux au ciel. Voilà qu'il recommençait à faire le bougon. L'habitude qu'elle avait de côtoyer la mafia la rendait plus sure d'elle en présence de cet assassin. Il semblait fuir la conversation, mais elle, elle n'avait pas envie de dormir. Il n'avait peut-être pas envie de l'entendre, mais elle s'en fichait.

- En fait, je ne fais confiance à personne... et encore moins aux hommes. Lui c'était un violeur et toi un assassin... quelle différence ça fait? Tu dis que tu tue pour la justice... mais as-tu seulement pris le temps de rassembler des preuves de leur culpabilité? Et pour qui te prends-tu pour juger de qui doit vivre ou mourir? Tu n'es pas un dieu. Tu n'es rien qu'un paumé sur une plage parmi d'autres. Les hommes sont tous les mêmes. J'en connais pas un seul qui sorte du lot.

Elle se tut un instant et lui jeta un regard particulièrement franc :

- Et puis tu sais, entre nous... Je trouve que t'es encore gentil de les tuer certains. Une mort rapide c'est nul. Je trouve ça plus cruel de les laisser croupir en prison jusqu'à la fin de leurs jours, sans aucun espoir de sortie, à subir tous les supplices infligés par les autres prisonniers.

Elle haussa les épaules et lâcha un petit ricanement:

- Tu vois, les femmes ne valent pas mieux que les hommes. J'ai bien couché avec mon patron alors que je sais qu'il a une femme et des gosses. Même à moi je ne me fais pas confiance. Alors n'essaie pas de me faire culpabiliser tu y arriveras pas. Je t'ai déjà dit ce que je pensais de toi: que t'es un mec bourru caché sous une belle gueule. Mais dans le fonds tu restes sympa quand même malgré tes idées tordues.

Elle reprenait le franc parlé qu'elle avait acquis dans son métier sans même sans rendre compte, mais elle en avait ras le bol, du langage fleuri. Elle lui avait dit ses quatre vérités et tout allait bien. De toute manière, certaines femmes parlaient comme ça, sans même être des putains.

Hum! Très comique la jolie belle femme. Elle ne se fesait meme pas confiance a elle meme en plus. Il se mit a rire betement.

-Alors sa ses génials. Tu crois sincerement qu'on se fiche de ton opinion ici? J'ai mes raisons de t'aider car j'ai un respect pour les femmes mais a par cela je pourrais décider de te violer que tu sois une putain ou non. Et a la plage ils vont tous penser ainsi. Ses la lois du plus fort ici. En se moment ses moi le plus fort meme si tu as une de mes dagues mais sa ne m,apporterait rien de te faire du mal et la compagnier, autant déplaisante qu'elle soit, est appréciez.

Il rit de bon coeur encore un peu.

-Sincerement j'attendais se moment avec impatience. Le jour ou je serais libre de faire mes choix. J'ai été receuillis jeune et tout se qu'on ma montrer ses l'arts de tuer.

Un peu vexée, Farah haussa les épaules.

- T'es pas le seul a avoir une vie difficile tu sais! C'est pour ça que je dis que cette ile n'est pas forcément une malédiction. C'est l'occasion pour tout le monde de faire table rase du passé et recommencer à zéro.

Son ton se fit beaucoup plus froid :

- Je sais bien que j'ai fait des conneries, mais arrête un peu de me traiter de pute! Cheville douloureuse ou non, la prochaine fois, je te gifle!

Il était temps pour elle d'entrer totalement dans son rôle. Et une femme honorable ne se laissa pas se faire traiter de putain sans réagir.

-Qu'est-ce qui a de mal avec le mot pute? Ses un moyen de gagner sa vie autant que moi. Tu vois ses tatoos? Je les est obtenus après avoir rater une mission. Se que aurait du signifier ma mort mais mon "père" a décider que s'était mieux de me faire comprendre que je ne devait plus échouer. On ne choisie pas qui on est on le devien et on le reste.

Ensuite il eut un petit rire sarcastique.

-Quoi qu'il en soit gifle moi si tu le veux sa n'apportera rien. La rédemption nous est généralement offert mais pas pour un assassin comme moi alors une gifle ou un couteau dans le coeur qu'est-ce que sa change?

Farah croisa les bras sur sa poitrine opulente.

- Pfff... T'es vraiment un idiot toi alors! Un couteau dans le cœur, et t'es mort. C'est tout, c'est fini. Une gifle, t'es blessé dans ton orgueil ou dans ta virilité, et tu changes pour éviter que ça recommence. Tu dis que tu respectes les femmes, mais c'est pas en traitant de putain que tu me le prouves!

Elle se calma légèrement et reprit d'un ton plus doux :

- On a tous le droit à une deuxième chance. Il suffit d'une aide extérieur. Et je vais saisir la mienne, crois moi. Toi... reste donc hermite dans ton cabanon si tu veux, mais t'es doublement idiot si t'en profite pas pour changer toi aussi.

Raksis aurait pu etre vexer par le nombre de fois qu'elle l'avait traiter d'idiot. Ou meme qu'il aurait pu en rire. Mais son étonnement était plus grand que ca.

-Mon respect pour les femmes est différent. Avec le nombre de vrai catin que j'ai vu je commence a les distinguer. Mon père a meme voulut m'en payer souvent pour féliciter mes mission réussit mais sa ne m'intéresse pas. L'amour n'est pas comme ca s'en est qu'une pale immitation créer par le désir qu'apporte le corps d'une femme. Comme tout a l'heure j'aurais pu me laisser aller sur toi quand tu dormais encore dans une position très peu recommandable.

Il rit de ses mots avant de reprendre un air sérieux et se coup-ci un peu triste.

-La seule fois ou j'ai penser que la vie servait a quelque chose... j'ai perdu cette raison quand on a tuer ma fiancé.

Il reconnait les putains quand il les voit....? Tu parles! En plus, pour un homme qui soit disant n'était intéressé par son corps, il avait quand même fait allusion deux fois au fait qu'il aurait pu abuser d'elle. Et quoi sa position? Ce n'était pas de sa faute si elle n'avait pas de couverture! Elle allait l'engueuler quand il parla de sa fiancée décédée. Si la situation n'était pas ce qu'elle était, elle se serait moqué de lui en lui demandant s'il l'avait dragué en la traitant de pute elle aussi. Au lieu de ça elle demanda :

- On a tué ta fiancé? Pourquoi donc?

Elle était indiscrète mais bon...

Raksis releva la tete en soupirant.

-S'était lors d'une de mes missions. J'était suposer me marier avec elle en secret mais un membre de l'organisation ou je travail a mal vu cela et a décider que si lui n'avait pas le droit a une femme alors moi non plus... Il la tuer et a meme signer sur sa poitrine son nom. Il y avait un peu de sperme sur elle et il l'avait battu... Je l'ai tuer deux jours plutard sans remors.

Il rabaissa ses yeux sur elle. Bien sur qu'il ne devait pas faire une bonne impression a la traiter de pute mais s'était ainsi qu'on l'avait elever. Pour etre directe dans un assassina on doit etre directe en conversation...

C'était dur, mais il semblait en parler comme si c'était arrivé à quelqu'un d'autre. Farah lui reconnu un certain courage.

- C'est moche, dit-elle simplement. Mais pourquoi avoir continué ta mission au lieu de partir directement avec elle? A te marier avec elle en secret, tu me semblais au courant que tu ne pouvais rester assassin. Ou même pourquoi ne pas avoir quitté ton organisation après ce drame?

Raksis soupira a nouveau.

-Et toi? Pourquoi ne pas avoir simplement quitter le pays après avoir su que les Yakusas te cherchait? Au lieu de coucher avec ton patron tu n'aurais eu qu'a quitter le pays. Non sa ne marche pas comme ca. Pour nous marier et partir il fallait quitter le pays, changer nos nom, changer d'identiter et il me falait de l'argent pour sa. Et ses la meme chose pour la suite. Meme après se qui ses passer j,ai du rester la bas car je n'ai nul par d'autre ou aller. Je n'es aucune étude pour me fier. Et de toute facon je suis surment rechercher pour crime sur quelque continent... Mais j'avais l'intention de partir alors que se bateau se soit échouer me donne bien des chances...

Farah lui jeta un petit sourire :

- Tu vois quand tu veux! Cette ile nous offre une vie nouvelle! Je pense qu'il faut en profiter.

Elle lui tendit la main. Avec sa cheville foulée, elle ne pouvait pas marcher, c'était à lui de se déplacer.

- Je m'appelle Farah. Farah Alba. Mais... je t'autorise à m'appeler par mon prénom.

Elle n'avait aucun problème à lui révéler son nom. Seule sa propre mère le connaissait. Pour le reste du monde, elle était Jasmine.

Raksis prit sa main après cette lever et se demanda premierement si s'était pour la déplacer ensuite elle se présenta. A son tour il se présenta.

-Moi ses Raksis. Raksis Alquilrio. Mais ses moins compliquer simplement le prénom car mon nom se fait souvent massacrer...

Il lui serra la main juste assez fort sans lui faire mal avec un certain sourir pousser.

Dans sa tete il se demandait quel était se soudain changement d'humeur. Avait-elle ses regles ou quoi pour etre aussi changente d,humeur.