A l'aube d'une vie nouvelle...

La jeune femme sourit et finit par lui lâcher la main.

- Bien, Raksis, nous sommes amis maintenant.

En effet, selon la tradition japonaise, se tutoyer et s'appeler par le prénom révélait une proximité. Son regard s'étrécie lorsqu'elle reprit :

- Hé bien... mon ami, tu vas venir dans la jungle avec moi et m'aider à me soulager... Sinon je vais faire pipi sur ton joli lit.

Il ne pouvait pas la laisser aller seule dans la jungle dans le noire. En plus, elle ne pouvait pas marcher. En gros, il venait de se faire avoir.

Après un moment désitation Raksis compris. Il devint plus pale et dit:

-TU n'es pas sérieuse la?

Pourtant elle avait l'air sérieuse... Alors il du se résigner a lui offrir ses bras. Il la prit dans une position coucher et l,emmena dehors pour la déposer doucement plus loin dans les buissons et de se retourner avant de soupirer.

*Mais dans qu'elle situation me suis-je mit...*

Farah était morte de rire. ça aurait été gênant dans d'autres circonstances mais tant d'hommes avaient vu ses fesses! Des femmes aussi. Elle n'était plus pudique depuis longtemps... Néanmoins, elle continua dans son rôle de sainte nitouche.

- Tu ne regardes pas!

Elle fit semblant de lui jeter un regard furibond, mais il regardait ailleurs. Elle se dépêcha, n'ayant pas envie de se faire mordre ou piquer le derrière. Elle s'essuya d'une feuille et se rhabilla.

- Tu n'as pas regardé, n'est ce pas? redemanda-t-elle encore d'un ton rude. Maintenant je veux me laver les mains!

Raksis eu envie de regarder juste par pure plaisir mais il se retint. Elle fini son boulot et l'observa lui demandant s'il avait regarder.

- Bien non, dit-il lassement.

Ensuite elle parla de se laver les mains mais ou? SUrment pas sur lui.... Il soupira et regarda autour de lui. Il la prit a nouveau dans ses bras et la traina jusqu'a un petit ruisseau. Il la déposa a coté mais avant il vérifia si tout était correct pour qu'elle ne se fasse aps attaquer par un serpent.

Farah s'amusait comme une folle. Il faisait semblant de rien, mais restait attentionné malgré tout. En plus, elle aimait bien qu'il la porte dans ses bras. C'était agréable de voir qu'on pouvait entretenir avec un homme une relation autre que sexuelle. Elle se lava les mains et une petite lueur malsaine brilla dans ses yeux.

- Raksis? l'aguicha-t-elle.

Lorsqu'il lui porta attention, elle flanqua un grand coup dans l'eau, aspergeant le pauvre homme qui était si serviable.

Raksis fut asperger d'eau après cettre tourner vers elle et il s'essuya le visage du rever de la main avant de faire comme les chiens et de se secouer la tete dans tout les sens pour l'asperger a son tour. Un amusement enfantin que Raksis n'avait jamais connu.

-Tu veux jouer? Prépare toi a perdre.

Il lui envoya a son tour une chute d'eau sur le corps en riant bien mais ensuite il se dit qu'il devrait trouver des serviettes. Miraculeusement il en trainait dans son sac. Quel sac sérviable

La jeune femme riait aux éclats. évidemment qu'elle allait perdre, elle était bloquée au sol. Mais s'était tellement bon de se détendre! Elle finit par demander grâce, mais avait du mal à tenir son hilarité. Raksis aurait une bonne surprise lorsqu'il la ramènerait vers la lumière de la cabane... son tee-shirt blanc était trempé....

Raksis avait gagner avec un sourire et il l'aida a se relever. Il avait allumer quelque lumière a batteri dans la cabane et il l'emmena dans ses bras jusqua la maison. Ses en la déposant sur le lit qu'il remarqua son chandail mouiller. Il s'embraissa de tourner le regard avant de dire.

-S'était aps voulu!

La jeune femme fut interloquée un instant de la remarque du jeune homme. Ce n'était pas voulu? qu'est ce qui n'était pas voulu? Puis elle remarqua seulement sa poitrine mise à nue par la transparence du tissu mouillé.

- C'est rien, je te pardonne.

Elle attrapa sa veste Kimono et s'en couvrit.

- Tu vois, c'est réparé.

Elle était beaucoup plus gentille avec cet interlude ludique.

Raksis la sentait moins ... comment dire. Énerver? Au départ elle lui criait presque dessus et maintenant elle ne se fachait plus. Il se tourna et la vie dans son kimono. Pour tout dire sa lui allait très bien et Raksis avait, une "grande gueule" .

-Sa te vas très bien se kimono.

Il se gratta le derrière de la tete cherchant inutilement quelque chose d'autre a dire.

La jeune femme rit doucement. C'était un compliment étrangement formulé mais un compliment quand même.

- Et tu sais quoi? Il me va encore mieux sans un tee-shirt mouillé en dessous... Mais d'après toi, je ressemble à une pute avec.

Elle lui avait lancé une petite pique, mais c'était juste pour lui donner honte, elle ne lui en voulait pas vraiment.

- Dis... t'aurais pas des bandages dans ton sac, Mary Poppins? J'ai vraiment mal à la cheville et ça serait bien si quelque chose la maintenait...

Raksis soupira longuement et dit:

-Ok désoler de t'avoir traiter de pute =_="

Il repensa a se qu'il avait dans son sac mais il répondit négativement.

-Non je n'ai que du linge.

Il se dirigea vers le sac et en sortit une serviette qu'il lanca délicatment sur elle.

Farah soupira, elle allait passer une mauvaise nuit en se réveillant de douleur à chaque fois qu'elle bougerait. Elle attrapa néanmoins la serviette et tamponna ses cheveux pour les éponger, puis ses jambes. Elle se tourna alors vers Raksis.

-Faut que je sèche le haut maintenant, tu veux bien te retourner?

Elle lui offrit un sourire angélique.

Raksis soupira encore avant de se retourner pour regarder le mur. Quel beau mur... Brun moisie un peu avec de la peinture écailler. Soudain l'image des formes de la belle femme derrière lui et il tenta de se sortir ses images la de la tete. Pourquoi sa devait lui arriver la sa... Il se concentra sur l'horloge mais finit par se dépecher de regarder ailleur y voyant une certaine forme très peu aidante...

Farah avait le sourire aux lèvres. Elle savait qu'elle lui faisait de l'effet. Beaucoup d'effet. C'était une des maigres récompenses qu'elle avait dans la vie. Elle prit son temps pour retirer le tee-shirt, et, torse-nu s'éponger le dos, les épaules et la poitrine. Quand se fut fait, elle renfila son kimono. Il faudrait que Raksis étende la serviette et le vêtement pour les faire sécher.

- C'est bon, tu peux te retourner tu sais.

Elle sourit un peu plus. Peut-être le savait-il déjà s'il n'avait pas résisté à la tentation.

Il avait décider de fixer la chaise. En bois brun clair et on dirait que quelqu'un avait commencer a la peinturer pour le plaisir de le faire. QUand elle lui dit qu'elle avait fini il se retourna sans presse et ramassa les objets mouiller. Il les accrochas bizarrement ou elles pourrait secher et revint vers elle. Elle commencait a lui faire de l'effet et sa devenait dérangant... Il n'était pas du genre pervers d'ordinaire...

Farah s'allongea sur le lit. Un pan de veste s'ouvrit, mais on ne distinguait pas grand chose.

- On va peut-être dormir maintenant?

A présent elle se sentait bien las. Une bonne nuit lui ferait du bien.

- Bonne nuit Raksis. Fais de beaux rêves...

Elle se demanda s'il rêverait d'elle. Elle sourit et ferma les yeux en attendant le sommeil.

(haha très drole ...)

Raksis suivit son ignitiative et se coucha. Au début il était face a elle mais il tourna vite vers le sofa après avoir trop reluquer un peu... Il ferma les yeux et laissa le sommeil venir le chercher. En effet il reva a elle... Les deux semblaient etre dans un spa bien coller l'un après l'autre. Raksis se réveilla quand ils allaient s'embrasser. Il fesait maintenant chaud et clair dehors.

(oui? )

Peut-être était-ce Farah qui avait éveillé Raksis. En effet, comme elle l'avait si bien deviné la veille au soir, elle dormit mal à cause de sa cheville. Encore heureux qu'il lui avait laissé le lit. Lorsque la lueur grisâtre de l'aube avait fait son apparition, elle estima qu'elle cesserait d'essayer de dormir. Elle s'était alors assise.

Elle aurait bien aimé remettre le tee-shirt qui devait être sec à présent mais il était loin d'elle. Elle avait eu beau s'étirer comme un félin, impossible de le saisir. Elle posa alors sa jambe valide sur le sol, suivit de l'autre. Elle réprima de justesse un petit cri de douleur. Elle pensait que le jeune homme dormait encore. Elle se redressa uniquement sur sa bonne jambe, gardant l'autre pliée de manière à ce qu'elle ne touche pas le sol. Elle se pencha en avant. Elle y était presque. Encore un petit effort.... Oh merde!

Perdant l'équilibre, elle tenta de reposer son deuxième pied sur le sol. Mauvaise idée, non seulement elle cria de douleur mais en plus elle valdingua un peu plus loin en avant... Elle sentit un choc.

Lorsqu'elle releva la tête, elle était allongée sur un Raksis réveillé et étonné de sa présence ici. Son Kimono était particulièrement bien ouvert (ce qui ne devait pas améliorer "la bosse du matin", sans parler de son rêve érotique).

- Oh!... Bonjour Raksis, fut tout ce qu'elle trouva à dire.

Mais victoire, elle avait le tee-shirt dans une des mains.

Raksis ouvrit les yeux suite a un petit crit et sentit quelque chose sur lui. Il lui sourit avec un air coquin et dit:

-Mal dormi?

Il comprenait se qui avait du se passer. Il l'aida a se relever et a retourner se coucher en essayant de ne pas regarder la, avec de gros effort.

-Fallait demander, dit-il en soupirant comprenant se qui s'était passer.

La jeune femme resserra les pans de sa veste. Il l'avait à nouveau mise sur le lit. Elle n'avait donc le droit que de rester là?

- Tu dormais, dit-elle. Puis, je sais aussi me débrouiller seule!

Elle lui jeta un regard pénétrant.

- Peut-être pourrais tu trouver quelque chose à petit déjeuner avant qu'on ne prenne la route? Et puis... pendant ce temps, je me changerai!

Elle continua, mais plus pour elle-même.

- En arrivant sur la plage, il faudrait que je regarde à trouver quelque chose ressemblant à un pantalon. Sinon je vais encore attirer des pervers. Pfff... Pourquoi je n'ai pas échoué sur une plage naturiste? ça aurait simplifier les choses.

Raksis soupira avant de sortir a l'extérieur. La jolie demoiselle a l'intérieur le troublait,certe mais le reve encore plus. Il se mit a chercher mais commenca a se demander qu'est-ce qui pourrait marcher comme déjeuner. Il se dit qu'ils feraient avec ce qu'il trouverait. Il trouva en effet bien des fruit comestible. Il retourna vers la cabane et rentra a l'intérieur. Il se dirigea vers la table et déposa son fardeau avant de lever les yeux vers la belle femme. Son visage devint rouge et on aurait pu croire voir un petit saignement de nez.

Farah sourit. Elle était bien contente de l'effet qu'elle provoquait chez lui. Il semblait avoir changé d'avis à son égard depuis la veille. Tant mieux, elle obtiendrait plus de lui ainsi. Elle s'était juré de ne pas le faire, mais c'était sa nature. Elle n'y pouvait rien.

- Hum des fruits! Quelle bonne idée! Mais... tu veux bien les apporter ici? Je n'ai pas appris à marcher depuis tout à l'heure.

Elle continuait de sourire mais son sourire c'était légèrement étréci :

- Puis tu peux t'assoir à coté de moi, je ne vais pas te manger.

Quelle chose étrange à dire à un assassin!

Raksis soupira. Il était maintenant sur qu'elle fesait exprès... Il ramassa les fruit et les emmena sur le lit. Il les déposa en essayant de garder un regard fixe sur ses yeux et non sur le reste. Il s'assit a coté d'elle mais pas trop près quand meme. Il sortit sa dague dorsal et commenca a s,éplucher une pomme. Quel drole de farce que de dire qu'elle n'avait pas appris a marcher. S'il la placait la s'était a cause qu'elle devait soigner sa jambe et que les chaises ne lui inspirait pas confiance. Après avoir fini déplucher la pomme il lui offrit et lui demanda de lui montrer approcher son pied qui lui fesait mal.

-Croque bien fort.

Il regarda un instant sa cheville et on dirait qu'avec le mouvement qu'il fit il venait de casser la cheville mais il l'avait fait craquer et il se mit a masser.

-On ma montrer diverse technique pour faire partir la douleur mais hier ta jambe était encore trop fragile.

Sa belle jambe a la peau douce dans sa main... Il essayait de ne pas y penser...

Farah se retrouva avec un bout de pomme dans la bouche tant elle avait serré les dents lors de la douleur. D'abord touchée par son geste d'éplucher gentiment la pomme, elle déchanta bien vite. Des petites larmes perlaient sous ses yeux.

- T'aurais pu prévenir! explosa-t-elle. ça fait un mal de chien!

Elle laissa échapper un couinement exaspéré. Mais au fur et à mesure des passages habiles des mains de Raksis sur sa cheville. Elle sentait une douce chaleur réchauffer ses muscles et la douleur s'en aller.

- C'est bon, dit-elle finalement.

Elle eut un sourire coquin.

- C'est pas mal de savoir faire ça... Moi je connais juste les techniques d'un massage érotique!