A l'aube d'une vie nouvelle...

Au moment où Farah allait jeter l'éponge, elle trouva un espèce de jean de couleur blanche. Il était fort abimé. Mais à sa taille. Elle appela Raksis pour qu'ils s'éloignent des rochers. Elle lui emprunta sa dague et elle en découpa les jambes de manière à ce que ça lui arrive à mi-cuisse. Ceci fait, elle fit glisser le bas du t-shirt dans le col pour en fait un vêtement plus féminin : le ventre découvert et un petit décolleté. Elle restait attirante mais sans être provocante. Elle se mit debout, bien que sur une jambe et écarta les bras :

- Alors? Comment me trouves-tu?

Raksis s'était éloigner quand elle lui avait demander et il revint ensuite. Il resta bouche-bée quand elle lui demanda si sa lui allait bien. Il aurait eu le gout de lui dire que oui mais au lieu de sa se fut un :

-Sans commentaire...

Une chance pour elle qu'il ne soit pas pervers...

Farah sourit. Elle commençait à comprendre comment il fonctionnait.

- Bon, je vais prendre ça pour un oui.

A l'aide de sa béquille elle se rapprocha de lui.

- Et si on se trouvait un joli coin où camper... pas trop loin des gens mais pas trop près non plus?

Raksis l'aida a marcher et dit:

-Sa serait une idée mais faudrait trouver du matériel...

Raksis l'emmena jusqu'au millieu de la plage et dit:

-Sa aurait presque pu etre romantique si sa n'avait été des gens a l'autre bout et du fait qu'on est prit sur une ile déserte...

Il se mit a rire un peu et ensuite trouvant une grande lassitude il décida de s'assoir un peu. Il regarda autour de lui. Il retrouva l'arbre qui contenait ses armes bien cacher. Il l,avait marquer après tout.

Farah le vit un peu craquer. Elle se plaça derrière lui et commença à lui masser gentiment la nuque. Elle commençait en général par un massage détente avant de commencer quelque chose de plus sensuel, afin d'obtenir un meilleur résultat. Mais bon, elle n'allait pas coucher avec lui, alors la détente suffirait.

- Du matériel? La nuit que j'ai passé sur le sable, j'ai simplement dormi à même le sol. J'avais juste creusé une petite niche. Mais j'avoue que j'aimerai quand même un petit feu de camp pour me réchauffer. Tu sais faire ça?

Raksis sentait les douces main chaude de Farah dans sa nuque et il soupira un peu de bonheur. Sa fesait un moment qu'il ne s'était pas bien détendu.

-Qui ne sais pas faire de feu de camp? Mais pour faire cela il faudrait que je quitte tes douces mais et j'en est pas vraiment envie.

Il lui sourit coquinement avec un clein d'oeil.

Farah sourit. Elle appréciait à sa juste valeur cette complicité qui était née entre eux deux. Elle n'avait jamais pu être comme ça avec un homme avant. C'était bon.

- Tu aimes?

Elle rit doucement.

- Alors mets-toi donc torse nu et allonge toi sur le sable. Je vais te montrer que moi aussi je sais bien faire des massages. Bon, ils ne guérissent rien mais ils sont agréables.

Raksis resta bouche bée encore une fois et suivis les directives de Farah. Oui il avait penser croche. Chanceusement pour lui il n'était pas encore dure...Il se demandait qu'elle genre de massage elle pouvait bien lui faire... Il tourna la tete vers elle et dit:

-Tout de meme se n'est pas la place pour se genre de chose.

Il lui fit un clein d'oeil pour qu'elle comprenne qu'il rigolait.

Elle laissa glisser la remarque : s'il espérait qu'elle lui fasse des choses, il rêvait! Elle avait pris sa retraite! Plus de sexe pendant un bon moment! Ou alors seulement si ELLE en avait envie. Et ce qu'Elle avait envie. Elle n'avait pas détourné le regard lorsqu'il s'était changé.

- Bon sang! T'es bien musclé! T'es même carrément beau!

Elle était sincèrement étonnée. Elle lui aurait bien demandé pour toucher mais il s'était déjà couché sur le sol.

- Je sens que le massage va être beaucoup plus agréable! dit-elle joyeusement.

Elle s'attela alors à la tâche, dénouant chaque nœud qu'elle rencontrait dans ses muscles. Lorsqu'elle aurait fini avec lui, il serait aussi shooté que s'il avait pris de la drogue. Mais elle ne lui ferait pas la totale. Déjà il y avait des gens et ensuite, elle n'en avait pas envie.

Raksis ferma les yeux et souris a sa remarque. Il se laissa faire en soupirant de bien-etre. Plus par le toucher de ses douces mains sur son corps musclé. Quand tout fut finit il s'étira et se trouva étrangement bien. Il n'avait pas mal nul par et sentait qu,on venait de lui retirer son habituel poids sur les épaules. Il se sentait relaxe... Il la remercia et une étrange envie de l'embrasser le prit mais en t'en qu'homme sérieux il se retint et lui adressa un sourire au lieu. Il se leva et se dirigea vers se qui semblait etre un arbre tomber. Il l'éxamina. Il connaissait sa force et savait que l'arbre était encore bien encrer dans le sol. Il tira un bon coup. Aucun effet. Il prit une grande respiration et avec un petit Hun! il donna un autre coup et on pu voir le grand bout de bois qui frottait contre le sol en direction de Farah. Il avait un air moqueur content de lui montrer sa force. Il lacha le bout de bois qui tomba dans le sable et ensuite il se dirigea vers l'eau. Il y trouva plusieur roche. Il les ramenas en grosse pogner encore en révelant que ses muscle n,était pas gonflable. Il les déposa en cercle et organisa un socle pour le feu. Il déposa une très grosse roche sur le baton et se mit a casser des bout de bois pour les empiler dans le sol. Maintenant restait plus qu'a allumer. Il chercha dans son sac et. ORREUR! Son sac avait été perser et il avait perdu ses roches de feu. Il soupira et retirant le simple chandail qui restait dans le sac avec les pantalons trop grand pour Farah. Il soupira en s'assisant a coté d'elle et en déposant ses chose par terre. Il prit deux bout de bois et commenca a les frotter rapidement l'un contre l'autre.

La jeune femme le regarda jouer aux coqs pour l'impressionner. Pour une fois qu'on essayait de faire sa conquête dans les règles de l'art, elle fut bon public et prit un air particulièrement impressionné. Le massage lui avait du bien et il avait un visage détendu pour une fois. Sans cette petite ride qui marquait son front lorsqu'il était soucieux. Il n'en était que plus attirant.

Il s'acharna tant et si bien que de la fumée finit par apparaitre avant qu'une petite flamme apparaisse. Il fallut encore souffler dessus mais ils eurent bientot droit à une belle flambée! Farah lui sourit.

- Bravo mon héros!

Elle lui claqua pour la troisième fois un bisou malicieux sur la joue. Elle commençait à avoir faim, mais ils ne pouvaient se permettre de manger devant les autres sous risques qu'ils n'en viennent aux mains pour manger eux aussi.

Elle jeta un regard plus sérieux à Raksis.

- J'suis contente que tu restes, tu sais.

Raksis fut soulager d'enfin voir le feu s'allumer et il lui sourit. Sa fesait déja trois fois qu'elle l,embrassait. Il dit:

-un peu plus et je vais me poser des questions.

Avec son air furibon et moqueur il fesait très mignon.

-Oui je commence a me bien etre content d'etre rester. Surtout avec se Meeeeerrrvvveiilllleuuuuxxxx massage.

Farah n'y connaissait pas grand chose dans les relations hommes/femmes, aussi agissait-elle plus à l'instinct qu'à une certaine ligne de conduite. Lorsque l'envie lui en prenait, elle l'embrassait c'est tout. Mais ça elle ne pouvait pas le lui dire ou ça lui aurait mis la puce à l'oreille. Serait-il aussi gentil avec elle en apprenant qu'elle n'était qu'une putain? Elle en doutait. Elle avait trouvé quelque chose de précieux et ne voulait pas le gâcher.

- Je vais arrêter de t'embrasser, alors, dit-elle simplement.

Elle le regarda et lui sourit gentiment même s'il était effrayant quand il prononçait le mot "merveilleux".

- Tu as été si gentil avec moi Raksis, et je n'ai rien pour t'en remercier malheureusement... Je voulais faire quelque chose d'agréable pour toi, voilà tout. Si tu as aimé, je suis satisfaite et voilà tout.

Elle plongea son regard dans le feu et s'est d'une voix particulièrement nostalgique qu'elle poursuivit:

- On n'a jamais été aussi gentil avec moi. Pas même ma mère. Je savais même pas que ça existait des gens qui tendent la main à d'autres sans rien attendre en retour.

Raksis répondit avec un petit air idiot:

-Non tu peux continuer j'aime bien.

Et sur le coup il lui tendit la joue avec un sourir et ensuite poursuivis.

-J'ai adorer. Mais ses quand meme rare des gens qui aide les autres... Mais comment ne pas vouloir t'aider alors que tu es dans un petit petrain? Toi et ton air tellement mignon.

Il se mit a rire un peu et repris un air sérieux

Puisque c'était demandé si gentiment, elle lui donna à nouveau un petit baiser, pour rigoler. Il essayait de la faire rire, mais penser à son ancienne vie la rendait triste. Elle replongea dans la lueur fascinante des flammes :

- Parce que y'a que toi que ça attire mon petit air mignon. Les autres, quand ils me voient, ils pensent juste "putain qu'elle est bonne, j'vais me la faire". T'en as encore eu l'exemple hier avec l'obsédé. J'ai jamais eu de chance dans ma vie, jamais... Jusqu'au naufrage, j'étais dans les emmerdes jusqu'au cou. Je pensais que ça allait continuer... puis j'suis tombée sur toi.

Elle se tourna vers lui et sa main alla saisir la sienne sur le sable. Elle la serra fort.

- Merci, souffla-t-elle. Merci de m'avoir donné ton amitié et ton attention! J'en avais tellement besoin...

Ses yeux brillaient comme si elle se retenait de pleurer.

Raksis apprécia le baiser avec un sourire. Ensuite il l'embrassa sur le front a son tour et lui dit avec un air sérieux:

-Sa va aller. Pas tout le monde est comme ca mais on vie dans une politic sale... (réaliter!)

Il ne retira pas sa main et meme qu'il refermait sur ses doigt qui dépassait.

-Et moi qu,est-ce que je ferais tout seul perdu dans le bois?

Farah ferma les yeux lorsqu'il l'embrassa sur le front. Elle aimait sentir sa main dans la sienne. ça lui réchauffait le cœur, c'était vraiment agréable, elle n'avait jamais senti ça. En plus il essayait de la consoler. Il était tellement gentil! Pour lui faire plaisir, elle décida de chasser sa morosité et se laissa aller à un trait d'humour:

- Je pense que tu serais allongé sur ton lit en train de bougonner contre les plantes et les animaux sauvages! T'es un sacré râleur quand tu veux, tu sais?

Raksis lui sourit car elle avait surment raison.

-Mais peut-etre que je n'aurais meme pas trouver cette fichu cabane. Et de toute facon maintenant il n'y a pas grand chance qu'on la retrouve. Et si je suis raleur sa me vien de nature. TOi tu es bien coquine non?

Il la regardait avec un air amical et lui meme ne savait pas vraiment s'était quoi la significassion des baiser car il n,en avait que quatre et s'était d'elle. Il savait qu'est-ce que sa fesait mais pas l'utiliter.

La jeune femme se refroidie un peu à la mention du mot "coquine". ça la rapprochait trop de son ancien job. Mais bon, c'était vrai aussi qu'elle n'avait pas été particulièrement sage avec lui. Elle préféra laisser couler.

- Non, je suis pas "coquine", disons que je suis plutôt "affectueuse". Ne me dis pas que je suis une coquine, s'il te plait.

Elle lui lâcha la main et ressembla ses genoux contre elle avec ses bras. Elle y posa son menton. Ce n'était pas vraiment qu'elle boudait, mais elle se demandait si arriverait un jour à se défaire réellement de son ancienne vie. Ses manières d'agir en avait été tellement marquées... Comment apprendre à se détacher de ce à quoi on avait été formé six ans durant, 24h/24?

- As-tu l'intention de rejoindre les autres au manoir toi aussi? Ou préfère-tu rester sur la plage?

Elle relançait juste la conversation, elle se fichait pas mal de la réponse pour l'instant.

Quand il vit que le simple petit mot qu'il employait comiquement lui fesait mal au coeur il s'excusa. Il se mit a lui caresser le dos machinalement et lui répondit:

-Si tu veux bien de moi alors je te suivrais partout ou tu iras. Sa me fera de la bonne compagnie.

^^ Il lui releva le menton et la regarda un instant en l'insitant a sourire.

-Tu sais que tu es bien plus belle quand tu souris?

La jeune femme lui lança un regard amusé et lui envoya une pichenette sur le front.

- Bon, tu seras mon petit chien alors!

Elle rit doucement. Elle l'avait complètement conquis. Tant mieux. Soudain, dans le jungle provenant des arbres retentirent les bruits inquiétants que les naufragés avaient entendu déjà à plusieurs reprises. Le silence se fit parmi les échoués et chacun retint inconsciemment sa respiration. Lorsque les bruits cessèrent, Farah se rendit compte que malgré sa cheville elle avait sauté sur les genoux de Raksis et se tenait blottie contre lui comme un poussin près de sa mère.

Raksis se mit a rire après que le bruit se soit arreter.

-Un chien ou un cheval?

Il attendit qu'elle débarque de son plein grès et il regarda derrière lui un instant. Qu'est-ce qui pouvait bien faire se genre de bruit... Ensuite il remarqua qu'un des hommes semblait jaloux de lui parce-qu,il avait eu la belle farah sur ses jambes.

Farah était assez gênée malgré tout de se retrouver là. Et surtout qu'il ne semblait pas vouloir la faire bouger. Elle se dégagea et retourna s'assoir près de lui.

- Bien un chien m'ira très bien. Avec mes béquilles, je peux marcher. Bon, ben si on veut être à l'aise pour dormir, faut peut-être commencer à s'activer... ça prend du temps de creuser un petit trou dans le sable pour y dormir.

Avec des gestes amples du bras, elle commença à creuser sur un périmètre qui lui permettrait de se rouler en boule pour dormir.

Raksis avec un sourir sur son air gener commenca a l'aider a creuser. Il l'aidait sur son trou surtout parce-qu'il ne savait pas s'il devait faire un deuxieme trou et qu'il n'y avait meme pas penser.

-Alors je ferais le petit chien chien mais je t'avertis tout de suite pas de laisse!

Il rit un bon coup en creusant de ses mains robuste.

-Tu as une idée de quand est-ce que l'autre bande vont revenir?

Avec l'aide de Raksis, ça allait beaucoup plus vite! Tant mieux, avec la mauvaise nuit qu'elle avait passé, sans parler de la faim et de la soif, elle était épuisée.

- Je ne sais pas... J'ai entendu discuter des gens tout à l'heure. Ils ont dit qu'ils ont vu ce matin la fusée pour dire qu'ils étaient bien arrivés... Il ne reste plus qu'à attendre qu'on vienne nous chercher.

Elle observa le travail fait et y posa sa veste Kimono qui lui servirait de matelas.

- Bon! C'est ce que j'appelle du bon travail! Et si on passait au tien maintenant?